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à g’Auch toute ! a g’Aucha tota !

La vraie gauche de la ville d’Auch se trouve rassemblée grâce au Front de G’Auch

L’édito

mardi 18 février 2014

La vraie gauche de la ville d’Auch se trouve rassemblée grâce au Front de G’Auch.

Avec la liste l’alternative , le front de g’Auch , nous pouvons nous réjouir que celles et ceux qui sont déçu.es et en colère n’aient pas comme seule résignation de ne pas aller voter .

Nous sommes :

  • La vraie gauche, celle qui ne capitule pas devant le patronat.
  • La vraie gauche, celle qui refuse et combat la politique libérale d’un gouvernement qui ose encore se dire socialiste

Hollande et Ayrault, leur gouvernement et les député.es à leur botte ont fait le choix de l’austérité pour faire face à la plus grave crise que l’Europe ait connu depuis 1929, dans une continuité presque parfaite avec leurs prédécesseurs de triste mémoire. Ils disent faire preuve de réalisme, de pragmatisme, qu’il faut bien « faire des sacrifices ».

Ce n’est pas vrai. Ils ont décidé, en toute connaissance de cause, de faire payer la crise aux salarié­e­s : ils ont choisi leur camp, celui du capital , de la finance pourrie et celui du grand patronat. Les vœux d’Hollande pour l’année 2014 annoncent une attaque sans précédent contre les acquis sociaux et la démocratie sociale .

Nous aussi , nous avons choisi notre camp : celui des salarié­.e­s, celui des précaires, celui du peuple.

Nous sommes les héritières et les héritiers des LIP qui il y a 40 ans prenaient le pouvoir dans leur usine avec pour slogan « on fabrique, on vend, on se paie ».

Contre l’austérité et la destruction de la démocratie sociale nous répondons « justice sociale » et « pouvoirs des salarié­e­s dans les entreprises et sur leur lieu de travail ».

Nous ferons de notre ville un lieu de résistance contre les politiques d’austérité.

  • La vraie gauche c’est aussi l’écologie. Une écologie qui traverse et concerne l’ensemble de notre projet politique. En effet, la crise est bien évidemment économique et sociale mais elle est aussi une crise écologique d’une gravité extrême.

La prise en compte des enjeux écologiques à leur juste mesure est donc une véritable urgence politique.

Pour nous la politique n’est pas l’affaire de professionnel.le­s ou/et de technocrates : c’est l’affaire de toutes et de tous, sans distinction de nationalité, d’origine sociale ou de sexe.

Nous venons vous rencontrer ; chez vous, dans vos associations, sur vos lieux d’exercice professionnel : rejoignez notre comité de soutien, rejoignez nos actions !